Sirba Octet

Dimanche 22 mai 2022 - 17h - Auditorium Chanorier

Sirba Octet - « A Yiddishe Mame »
musique klezmer en quartet

Sirba Octet

Pour accompagner le retour des beaux jours, c’est un concert joyeux et entraînant que nous vous proposons.

Le Sirba Octet, composé de musiciens issus de l’Orchestre de Paris, a réussi le pari de former un ensemble à mi-chemin entre l’académisme classique et la musique traditionnelle d’Europe de l’Est. Mêlant musique de chambre et instruments traditionnels, il crée ainsi un genre inédit appelé « Classic World ». L’ensemble a acquis une réputation enviable, se produisant dans les plus grands festivals et les grandes salles en Europe, en Russie et même en Asie.

« A Yiddishe Mame », programme composé pour quatre instruments (violon, contrebasse, clarinette et cymbalum), est une lecture originale des répertoires klezmer, yiddish et tzigane, une plongée intimiste au cœur des mélodies d’Europe de l’Est, aux accents slaves et yiddish, souvenirs des ambiances festives et familiales de son fondateur. L’atmosphère jubilatoire du concert électrise le public conquis par la virtuosité et la sensibilité rare qu’exaltent les artistes.

Si la virtuosité et l’émotion se retrouvent inévitablement dans les airs marqués par l’errance de ces peuples, c’est la couleur, la richesse et l’inventivité de la réécriture musicales qui font la singularité et la réputation du Sirba Octet.
« Le tour de force du Sirba Octet : unir sophistication des arrangements et liberté interprétative éblouissante » (Yutha Tep dans le magazine Cadences).
« L’auditoire en a gardé une énergie et une vitalité indescriptibles » (La Voie du Nord).
« C’est fascinant la manière dont ils projettent la joie pure de la musique » (Christoph Eschenbach).

Programme :

Musiques klezmer

Vidéos :

Revue de presse :

« Le Sirba Octet est un groupe de musiciens que j’affectionne particulièrement, ils sont très doués et ont une facilité instrumentale et musicale incomparable. C’est fascinant la manière dont ils projettent la joie pure de la musique. Ils portent leur cœur au bout de leurs doigts. » Christoph Eschenbach

Délicieuse nostalgie – François Lafon, Le Monde de la Musique • juin/juillet 2005
« […] Les morceaux ont le parfum d’éphémère, la légèreté rêveuse de ces moments de paix entre deux tourmentes. […] En soutenant son Violon sur les toits de Paris, l’Orchestre de Paris et Radio Classique nous offrent à nous aussi un moment de nostalgie délicieuse et douloureuse. »

Le violon yiddish – Yutha Tep, Cadences • septembre 2005
« […] Ce véritable trésor musical, dont le substrat se perpétue largement par voie orale, recèle mille tentations, mais leur fréquentation par des artistes classiques n’est pas sans risque. Le tour de force du Sirba Octet : unir sophistication des arrangements et liberté interprétative éblouissante […]. »

Ballade sur les toits de Paris – La Voix du Nord • mars 2006
« Sirba Octet composé de musiciens au talent exceptionnel […] a offert un spectacle haut en couleur. […] Usant avec brio de jeux musicaux, expansive, la formation entreprend un voyage riche d’enseignements, dans des interprétations tantôt nostalgiques et sensibles, tantôt humoristiques, laissant les instruments parler. L’auditoire en a gardé une énergie et une vitalité indescriptibles ! »

Un Violon sur les Toits de Paris – J.P. Enaut, La Semaine des spectacles • juillet/août 2005
« Ces morceaux exploitent intelligemment la richesse des sonorités traditionnelles de chaque instrument sans jamais donner la priorité à un seul. Tout en respectant l’esprit Klezmer, l’interprétation pleine de vitalité et de fougue de ces musiciens tous lauréats de grands prix internationaux donne à cette musique toutes ses lettres de noblesse. Ce superbe concert entraînera le public dans un merveilleux voyage dans le temps qui rappellera les airs entraînants de la comédie musicale. […] Une éblouissante soirée en perspective ! »

Musiques yiddish et tzigane ont enflammé Saint-Laurent – Festival Sonates d’Automne • octobre 2004
« […]Les quelque trois cents spectateurs qui avaient envahi l’église Saint- Laurent samedi soir ont été transportés par la qualité d’interprétation de ces airs dont la plupart sont familiers. […] Une nostalgie qui a transporté le public des Sonates par-delà l’espace et le temps dans une ambiance qui est allée droit au cœur de chacun. »